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Central Africa Digital Fair (CADIF 2023) : Yaoundé capitale du numérique du 22 au 24 février

La capitale camerounaise accueillera la première édition du Salon du numérique d’Afrique Centrale, Central Africa Digital Fair(CADIF) du 22 au 24 février 2023. L’évènement parrainé par le ministère camerounais des postes et télécommunications et placé sous le Très Haut Patronage du Président de la République du Cameroun, sera organisé au Palais des congrès sous le thème «la contribution de l’économie numérique à l’émergence du Cameroun et de la sous-région  Afrique centrale ». Une initiative du cabinet Opportunities in Africa. Lire la suite…

Outre le Cameroun, trois autres pays de la sous-région ont déjà annoncé leur participation à ce Salon. Le Président du Comité d’organisation Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI et le Président du Comité scientifique le Pr. Laurent Charles BOYOMO ASSALA étaient d’ailleurs  face à la presse nationale et internationale le 13 février à l’hôtel des députés à Yaoundé, pour dévoiler tous les contours de cet évènement.

En attendant la confirmation des autres pays de la sous-région Afrique centrale, le Congo, le Gabon et la République et le Cameroun sont les pays qui ont déjà confirmé leur participation à cette première édition du Salon du numérique d’Afrique Centrale, Central Africa Digital Fair(CADIF) prévu du 22 au 24 février 2023 au Palais des congrès de Yaoundé.

Cet évènement parrainé par le ministère camerounais des postes et télécommunications et placé sous le très haut patronage Hu Président de la république du Cameroun a pour objectif selon le président du comité d’organisation Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI d’ « offrir une plateforme aux experts nationaux et internationaux de haut niveau, aux investisseurs et aux porteurs de projets, à l’effet de mener la réflexion et formuler des propositions concrètes en vue de mieux capitaliser l’impact de l’économie numérique sur le développement économique en général, et d’accélérer l’émergence du Cameroun et de la sous-région Afrique centrale ».

Plusieurs résultats sont d’ailleurs attendus au terme de ce Salon souligne le patron du cabinet Opportunities in Africa, l’organisateur, notamment  des propositions  d’amélioration du cadre institutionnel et réglementaire nécessaire pour une meilleure prise en compte  de l’économie numérique dans les politiques de développement des pays de la CEMAC ; proposition d’une cartographie de grands projets nationaux et sous régionaux, nécessaires à l’impulsion du développement de l’économie numérique ; identification des sources de financement de l’économie numérique.

Ce salon ambitionne donc d’être un grand moment de regroupement des intelligences nationales et internationales africaines pour mieux capitaliser l’impact de l’économie numérique  sur le développement économique en général afin d’impulse et accélérer l’émergence  du Cameroun et de la sous-région Afrique centrale ; Huit thématiques meubleront ce salon dont le comité scientifique est présidé par le Pr. Laurent Charles BOYOMO ASSALA, ancien, Directeur de l’école supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC).

« Il est important que l’opinion soit au même niveau d’information sur à la fois le niveau de pénétration de l’internet et du numérique dans la société de la sous-région, les différents Etats de la sous-région, mais également le niveau même d’acquisition et d’appropriation de ces technologies qui accompagnent le numérique au niveau de la production des richesses notamment puisqu’il s‘agit d’économie » a-t-il  déclaré avant d’ajouter que « ce niveau d’information doit pouvoir également servir de dynamique pour que le public lui-même d’abord sorte d’une espèce d’apriori qui pourrait constituer une barrière épistémologique c’est-à-dire une barrière psychologique par rapport à la nouveauté que représente ce monde-là issu d’une révolution absolument indéniable ,une révolution technologique , avec un certain nombre d’équipements et des enjeux qui font que très souvent , on en a peur ; mais au-delà de cela il y’a nécessité que le public s’approprie ce nouveau monde , les lois et les règles qui gouvernent ce nouveau monde et qu’il le soumette qu’il le domestique et puisse lui-même se créer une niche de progrès ».

Yaoundeinfo.com

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