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URGENT/MEDIAS: Lettre ouverte d’un fils de l’océan à un Directeur de Publication, chaud devant

septembre 14, 2023, 9:25 am 231 Views

« LETTRE OUVERTE À EMMANUEL MBOMBOG MBOG MATIP, DP CLIMAT SOCIAL.

En ma qualité de digne fils de Bidjouka, village dont le Ministre des Forêts et de la Faune Jules NDONGO est originaire, je me permets de prendre la parole pour éclairer votre lanterne, à la suite de vos allégations malvenues contenues dans votre journal Climat Social N°500 du lundi 11 septembre 2023 qui jusque-là, m’était totalement inconnu. Votre tissu de mensonges, la calomnie démesurée, les ragots de bas étage gribouillés dans cette édition, n’est que pure affabulation. C’est de la délation.

En effet, à la une de votre journal, vous avez fait des allégations gratuites qui ne reposent sur aucun fondement scientifique en disant, je vous cite : « Le Ministre Jules Doret NDONGO est l’élite la plus contestée du département de l’Océan… Jules Doret NDONGO pourrait être lynché par les populations de cette partie du Cameroun ». J’ai véritablement été éberlué, estomaqué et choqué par vos propos dignes des contes de fées. Pourquoi d’abord faire une affirmation à la première phrase et à la deuxième, vous utilisez-vous le conditionnel ?

Vous tentez de jeter à la vindicte populaire notre très cher aîné bien aimé et adoré Jules Doret qui fait notre fierté (appréciez la rime), pour qu’il soit vomi par les populations de l’Océan ou par le Président de la République Son Excellence Monsieur Paul BIYA. Il l’a toujours servi avec fidélité, tout faisant preuve d’abnégation. Ce sont les basses manœuvres d’une autre époque. C’est risible, ridicule à la limite. Mais rassurez-vous, ça ne peut pas passer, même s’il faut emprunter une vingtaine, cela ne se peut pas ! C’est peine perdue, car votre journal ne fait pas partie des supports de communication utilisés par le Chef de l’État, pour avoir des bonnes informations sur ses ministres. Si déjà moi, pour protéger ma santé intellectuelle, je ne le lit pas, à plus forte raison, le Président Paul BIYA ?

Pour votre gouverne, je peux vous dire d’autorité et avec ferme conviction que, de toutes vos assertions, il n’en est absolument rien. Tout au contraire, le Ministre Jules Doret NDONGO est un Homme providentiel pour non seulement ce village éponyme, mais aussi pour l’ensemble des populations de l’arrondissement de Bipindi et de l’Océan. Retenez que Jules Doret NDONGO, Chef de la délégation permanente départementale du Comité Central du RDPC pour l’Océan, inconditionnel et indéfectible soutien du Président de la République qui bénéficie de sa confiance, est l’Élite Majeure adulée par les populations de cette contrée. Vous pouvez vous-même le vérifier à chacune de ses descentes dans chacun des arrondissements de l’Océan et à Bidjouka particulièrement. Ses nombreuses réalisations et divers appuis à l’endroit des populations de ce département ne se comptent pas. Ce bienfaiteur Hors du commun, vibre en phase avec ses frères et sœurs, dont il a su atténuer les souffrances. Donc, vos insinuations pour mettre à dos le Ministre Jules Doret NDONGO ses frères, est malsain. D’ailleurs, c’est peine perdue car tout ce que vous avez raconté dans votre feuille de chou « journal-WhatsApp », est une tempête dans un verre d’eau. La vérité est que, vous ne pouvez pas distraire les populations de l’Océan. Vous avez mal choisi votre cible de lynchage médiatique.

Nul ne peut se douter qu’il s’agit purement et simplement d’une machination, une cabale orchestrée par des personnes malveillante contre le Ministre Jules Doret NDONGO et dont vous n’êtes que la face visible de l’iceberg. Il est vraiment très regrettable qu’un « Mbombog » c’est-à-dire un homme dont l’autorité repose essentiellement sur sa magnanimité et sa grandeur d’âme, accepte allègrement faire du psittacisme avec des « articles commandés » qui foulent au pied les règles éthiques et déontologiques du noble métier de journalisme. Peut-être parce que vous n’en savez pas grand-chose, pour n’avoir jamais été dans une école où l’on enseigne les basiques de ce métier.

Je peux donc comprendre que vous ne maîtrisez pas le code de déontologie du journaliste et les dispositions de la loi N°90/052 du 19 décembre portant sur la liberté de la communication sociale ou alors, vous feignez les ignorer. Tout journaliste qui n’entre pas dans la profession par effraction, sait que qu’il est tenu de traiter l’information avec objectivité et responsabilité. De même, il semble que vous ignorez que vous êtes passible de poursuites judiciaires et que le CNC peut se saisir de cette affaire. J’ai failli oublier que vous êtes un habitué de la prison de Kondengui. Ne soyez pas surpris d’y retourner un jour.

Honte à vous ! »